(2)
A l’article de la Rue des Petits Remparts , qui précède, on verra que j’en parlé des restes d’une petite tourelle ou porteau existant dans le jardin du Sieur Ber, au bas de la Rue Porte Vieille et qui se trouvait édifié au côté droit de la porte de ville, en entrant. Cette tourelle marque mieux que quoique ce soit le commencement de la Rue de la Porte Vieille qui se termine à la Place de la Paneterie . (3)
Elle tire son nom de la porte à laquelle elle aboutissait et qui portait anciennement le nom de Porta Vie (la Porte de la Voie)(1). Cette porte qui avait été presque entièrement démolie par le canon pendant le siège fut réédifiée en 1620. (4)
(1) La voie à laquelle il était fait allusion était la Chaussée de César , appelée plus tard Chemin de Jacques Cœur ou ancien chemin de Bourges , laquelle était reliée à la porte en question par un tronçon de chaussée appelé aujourd’hui le chemin de Serre-Cœur. La Porte Via est encore désignée aujourd’hui sous le Porte Vié, lequel a été changé en Porte Vielle, nom qui n’a aucune signification puisque cette porte n’est pas plus ancienne que les autres. (5)
La Rue de la Porte Vieille qu’est quelquefois appelée la Grande Rue, était antérieurement au siège la rue la plus commerçante de Sancerre, les boutiques de toutes sortes y abondaient en raison de la proximité du marché qui se tenait sur la Place de la Paneterie . (6)
A droite, en montant six rues y aboutissent, savoir : celles du Petits Remparts de la Huchette , de la Chèvre Blanche , du Mouton Noir , de la Grange Londy et du Four Banal . (7)
A gauche, deux rues et une ruelle y aboutissent également : la Rue Basse des Remparts , la Rue du Puits Poulton et la Ruelle du Four . (8)
La Rue de la Porte Vieille était presque exclusivement habitée par des vignerons , n’a pour ainsi dire rien de remarquable. Deux ou trois maisons seulement méritent quelques attentions. (9)
{Bonnin page : 140} (10)
Je me bornerai donc à indiquer sommairement les noms des propriétaires et l’emplacement occupé par les immeubles. Je commence à droite en montant. (11)
Au dessus de la dite rue se trouve une maison qui fait le coin et qui appartient au Sieur André Vattan Dupont dit « Pierre Bourré », tonnelier et vigneron et plus loin une autre maison au Sieur Cormillat Pierre, sabotier , dont le rez de chaussée sert d’atelier au propriétaire et le premier étage auquel on arrive par un escalier donnant sur la Rue de la Huchette est occupé par la Veuve Victor Soudé dit « Marmande » . (12)
Entre la Rue de la Huchette et la Rue de la Chèvre Blanche se trouvent une maison habitée par la Veuve Jacquet et appartenant au Sieur Carnillat sur nommé, puis un emplacement sur lequel ce dernier dépose son lieu de travail et qui appartient au Sieur Auguste Habert dit « Rampierre » et « Bayard ». (13)
Entre la Rue de la Chèvre Blanche et celle du Mouton Noir sont édifiés trois bâtiments savoir : (14)
Le pressoir (pressoir à vin) à un du Sieur Auguste Habert sur nommé, dont l’entrée est dans la première de ces rues, (15)
La maison du Sieur Pierre Chevreau dit « Lols », vigneron et conseiller municipal (16)
Et celle du Sieur Eugène Paillard dit « Laubouet » ou « le Prince ». (17)
Entre la Rue du Mouton Noir et la Rue Grange Londy se trouvent d’abord deux maison au Sieur François Boin Dessange , habitées, (18)
la 1ère par la Veuve Pinon Niel (19)
et la seconde par le propriétaire, puis une petite impasse en cul de sac, où est construite une petite maisonnette appartenant au Sieur Thomas dit « Nicais ». (20)
Au dessus de ce cul de sac est la maison de Sieur André Fontaine Pain dit « Canaire », vigneron , qui lui provient de son beau père Marc Pain , lequel l’avait acquise en 1832 du Sieur Pierre Boulay , tonnelier , qui la possédant depuis plus de vingt ans. (21)
A la suite de la maison Fontaine et au coin de la Rue Grange Londy se trouve un pressoir à vin à Madame Veuve Lauverjat « La Grenouille ». (22)
Entre la rue Grange Londy et la Rue du Four Banal , on rencontre d’abord la maison habitée par le Sieur Jean Maréchal Choisette , vigneron , qui administra seul la commune de Sancerre, à la suite de la démission du maire, des adjoints et du conseil municipal du 12 juin 1852 au 13 septembre suivant, comme conseiller municipal faisant fonction de maire. (23)
La maison qui suit et qui lui appartient également est occupée par un cabaret tenu par la née Virginie Galopin Veuve de François Chevreau dit « Canconne ». (24)
Suivant : (25)
Une écurie à Sophie Galopin , Veuve Sulpice Moindrot , (26)
une maison dont le rez de chaussée appartient au Sieur Edme Bureau Paillard et le 1er étage à la Veuve Sulpice Moindrot , sur nommée, (27)
une autre maison au Sieur Philippe Paillard dit « Lambonet », une maison au Sieur Jean Pillet, taillandier , (28)
une autre au Sieur François Ducloux Bedu , pâtissier , (29)
une cour au Sieur Jean Louis Gaudry , propriétaire et aubergiste à la « Croix Blanche »(Auberge de la Croix Blanche), dont il sera parlé ci-après, laquelle cour devait originairement dépendre de la maison de la Veuve Coqueval . {Bonnin page : 141} décrite à l’article de la Rue des Petits Remparts . (30)
Enfin un magasin ou atelier de tonnellerie (magasin) au Sieur Étienne Paillard dit « Boucaud », qui fait le coin de la Rue du Four Banal . (31)
Entre la Rue du Four Banal et la Place de la Paneterie se trouvent. (32)
La maison et le magasin d’épicerie du Sieur Étienne Paillard dit « Bausaud » sur nommé. (33)
L’ «Auberge de la Croix Blanche » exploitée actuellement par le Sieur Jean Louis Gaudry dit « Jean Leblanc » et avant lui par Alexandre Pain , Pierre Bourgeois et la Veuve Leguay . (34)
Cette maison qui fait face à la Ruelle du Four , avance considérablement sur la voie public. (35)
J’ai trouvé en feuillant les archives du greffe du Tribunal , qu’un né Pierre Dargent tenait en 1702 et en 1724 l’ «Auberge de la Croix Blanche », mais à cette époque la maison en question ne portait pas cette enseigne, si elle était déjà convertie en auberge . L’ «Auberge de la Croix Blanche » était alors au milieu de la Rue des Juifs , à gauche en descendant, dans la maison occupée par le Sieur Alexandre Baumann Ducloux , ferblantier , ainsi qu’il résulte d’un acte reçu par Maître Rossignol , notaire à Sancerre le 16 janvier 1724. La maison Gaudry lui appartient comme l’ayant acquise en 1871 ou 1872 de Madame Veuve Prosper Habert , qui l’avait héritée d’Aristide Leguay , son fils, issu d’un premier mariage, lequel la tenait de son père François Leguay . (36)
La maison du Sieur François Ducloux dit « Gnégné », vigneron , ayant appartenu Monsieur François Lejay et dans laquelle ont été longtemps installés l’imprimerie Dubose et un cabinet de lecture. (37)
La maison du Sieur Étienne Chevreau , cordonnier , surnommé « Lolo » et « le Pinacre ». (38)
Celles du Sieur Napoléon Bonnet Ducloux dit « Paul Godard », boucher , celle du Sieur Jean Baptiste Bailly , sabotier et celle de François Roblin , cabaretier et charcutier déjà décrite à l’article de la Place de la Paneterie . (39)
Entre les maisons Étienne Chevreau et Napoléon Bonnet , ci-dessus, et en face de la grande maison Arnaud , se trouve une porte donnant accès sur un petit palier au fond duquel est un puits commun entre les deux maisons. Cette porte qui est magnifiquement sculptée est très ancienne. Elle date au moins du 13ème siècle. Au dessus de l’entrée et dans deux médaillons, sont en relief, les chiffres de Jésus (Jésus-Christ) et de Marie (Très Sainte Vierge), en belle écriture gothique. Bien qu’elle soit un peu mutilée, elle fut encore l’admiration des nombreux touristes qui visitent Sancerre depuis l’établissement de la ligne ferrée du Bourbonnais (voir ci-contre le croquis de cette porte). (40)
(41)
{Bonnin page : 142} (42)
Pour décrire le côté gauche de la Rue de Porte Vieille , je commence par la maison qui se trouve en face de celle du Sieur Bex . (43)
Cette maison qui était anciennement la 1ère à gauche après avoir dépassé la porte de ville et aujourd’hui un cabaret. Elle se compose de deux corps de logis séparés par une petite cour. (44)
Le 1er consiste en une chambre haute établie sur une écurie et à ses entrée sur la Rue de la Porte Vieille . (45)
Le 2ème qui comprend deux salles de cabaret et qui n’a qu’un rez de chaussée son entrée sur le carrefour de la Porte Vieille et en face la rue du même nom. (46)
A gauche de cette partie de maison se trouvent la Rue des Chenevièves (Rue des Chenevières) et la Rue Basse des Remparts . (47)
Entre la Rue Basse des Remparts et celle du Puits Poulton , on trouve : (48)
La maison d’habitation du Sieur Pierre Cornillat , déjà nommé, dans laquelle est installé son magasin de sabots et d’épicerie . Cette maison qui autre le propriétaire, abrite encore deux locataires est très ancienne. Du côté de la Rue Basse des Remparts surtout elle présente des restes assez curieux, notamment, une colonne assez volumineuse, haute de 6 à 7 pieds, dont la partie supérieure surplombe sur le pied d’au moins 20 à 30 centimètres. (49)
Suit la maison du Sieur François Louis Ducloux dit « Bizot », habité tout par lui que par son fils Victor Ducloux qui y exploite un four à pain . C’est aussi une maison très ancienne mais qui n’a rien de remarquable. (50)
Les maisons du Sieur Bonnet Darchy , maçon et épicier , Silvain Habert , vigneron Jérome Marion père, vigneron et Vincent Lesimple dit « l’Escargot », vigneron et conseiller municipal , se trouvait au dessus du Grand Dîme . (51)
A la suite de la maison du Sieur Lesimple est un petit cul de sac au fond duquel se trouve une maisonnette incendiée en 1873 et appartenant aux héritiers Girault Dion . (52)
Au dessus de cette impasse sont les maisons du Sieur Thomas Joseph dit « Maca fils» et celle d’Étienne Semelet dit « Genoux ». (53)
{Bonnin page : 143} (54)
On rencontre ensuite une cour sur laquelle a son entrée une maison très ancienne appartenant à la Veuve Chevreau Cancoune et à la suite de cette cour, toujours en remontant la rue une autre cour et une maison au fond appartenant au Sieur Joseph Bailly Habert dit « Paté », vigneron . (55)
La maison qui fait le coin de la Rue du Puits Poulton , appartenant appartient au Sieur Louis Vatan Semelet dit la « Détoche », qui entreprit le 1er le macadamisage des rues de la ville en 1853 et qui la tient de son beau père le Sieur Jean Semelet dit « Jean Cul ». (56)
Entre la Rue du Puits Poulton et la Ruelle du Four on trouve : (57)
La maison qui fait le coin et qui a son entrée sur la première de ces rues appartenant au Sieur François Paillard Biquin dit « Peillaud », vigneron et conseiller municipal . (58)
La maison du Sieur Louis Lauverjat Legay habitée soit par lui que par le Sieur François Lecler , son gendre. Elle est divisée en deux parties : celle voisine de l’habitation du Sieur Paillard est un atelier de serrurerie au Sieur Lecler et l’autre partie un magasin d’étoffes et de Mercerie . (59)
La maison habitée par le Sieur Louis Chelle , scieur de long et appartenant à la Veuve Sulpice Moindrot née Sophie Galopin . (60)
Celle du Sieur Jean Baptiste Servol , cordonnier , suivie d’une écurie au Sieur François Ducloux Bedu et d’une impasse au fond de laquelle et à gauche se trouve une petite chambre appartenant au même Jean Baptiste Servol . (61)
A la suite de cette impasse est la maison du Sieur Charles Coqueval , cantonnier de la ville et maçon , (62)
Celle des héritiers André Lecler habité par le Sieur Étienne Bordier , ancien gendarme (63)
Et celle des Étienne et Augustin Moreux , héritiers de leur père Edme Moreux dit « Lémon », le plus riche vigneron de la ville. (64)
Soit la maison occupée par André Fontaine dit « Le Pot », qui en est propriétaire et par le Sieur Frédéric Cloiseau qui exploite un four à pain dans le petit bâtiment édifié au fond de la cour et joutant la Rue Serpente . Le Sieur Fontaine avait acquis cette maison de la née Pauline Pinson Veuve de Jean François Leblanc , qui la tenait de son père Jacques Pinson , l’homme le plus excentrique qu’il soit possible de trouver. Après la grande porte d’entrée se trouvait de son temps l’inscription suivante : Pinson fou-rnier (fournier) . (65)
La maison qui suit appartient à la Veuve Antoine Arnaud Leguay dit « L’Empésé », laquelle habite le 1er étage. Le rez de chaussée est occupé par le Sieur Eugène Bardy , sabotier . Elle fait le coin de la Ruelle du Four . (66)
La bâtiment qui fait l’autre coin est composé au rez de chaussée d’une grande écurie et au 1er étage d’un immense galetas . (67)
Il fait face à l’autre de l’ «Auberge de la Croix Blanche » et il appartient comme cet établissement au Sieur Jean Louis Gaudry dit « Jean le Blanc ». Dans la partie de l’écurie la plus rapprochée de la rue, ce dernier qui est tonnelier , y fabrique ses tonneaux . (68)
Pendant l’automne et d’hiver cet emplacement est aussi occupé par des étameurs ou chaudronniers ambulants venant de Normandie . (69)
La grande maison qui suit appartient à Monsieur Guillaume Arnaud , ancien médecin et à sa fille Mademoiselle Stéphanie Arnaud , comme héritière de Madame Rosalie Marjolin , sa mère en cette maison dont la façade est toute moderne et sans aucune architecture est cependant très ancienne. {Bonnin page : 144} Le corridor qui longe la maison et qui conduit de la rue dans les cours et jardin qui en dépendent et remarquable par ses arceaux en pierre qui rappellent ceux des anciens couvents. Les différentes pièces de la maison sont énormes et les dépendances de cet immeuble sont aussi très importantes. (70)
Elles s’étendant sur quatre rues, celle de la Porte Vieille , celle de Saint Père , la portion de la Ruelle du Four au nord de la Rue Serpente et celle débouchant sur la Rue de la Porte Vieille . Au dessus de la porte principale (située en face de la Porte du Puits Bonnet Chevreau dont j’ai donné le croquis à la page précédente) se trouve en écusson d’environ 30 à 35 centimètres de hauteur et 20 de largeur de forme ovale. Un arbre qui ressemble assez à un palmier occupe le centre de cet écusson . De chaque côté du tronc se trouvent les initiales des personnes qui ont construit la maison. A droite un P et un S entrelacés et à gauche un T et un D également entrelacés. Sous les racines de l’arbre est un lien courant et le millésime 1589. Cet écusson se trouvait très probablement dans la façade primitive de la maison abattue dans les dernières années du siècle dernier ou les premières du siècle présent. Je ne pourrais préciser ici d’une manière indiscutable les noms dont les initiales sont ci-dessus indigènes, j’ai consulté à ce sujet le docteur Arnaud qui m’a déclaré que n’ayant reçu en achetant l’immeuble aucun titre de propriété antérieur au 18ème siècle, il ne pouvait me fournir ce renseignement. Cependant j’ai tout lieu de croire que le P se trouvant à droite et de T se trouvant à gauche s’appliquent à Paul Triboudet qui exerçait à l’époque indiquée la charge de Procureur fiscal à Sancerre. Les lettres S et D s’appliquent à Suzanne Dargent , sa femme. (71)
Monsieur Arnaud l’avait acquise par acte reçu Monsieur Clérault , notaire à Sancerre le 28 mai 1834 de Madame Marie Dieudonné Wallard , épouse d’Antoine Charles François Franchot , ancien officier , demeurant à Mézières et de Madame Eugénie Antoine Wallard , épouse de Monsieur Adrien Stanislas Dufrayer , capitaine d’artillerie à Bourges , héritières testamentaires de Monsieur Jacques Blanchard , 1er commis du receveur particulier des finances et de Marie Josèphe Briolet , son épouse. Ceux-ci l’avaient acquise par acte reçu Maître Bonnet , notaire à Sancerre, le 16 vendémiaire an XII de Marie Anne Bourreux femme d’Étienne François Simon , maître chirurgien à Sancerre à qui elle appartenait aux termes d’un partage sous seings privés du 22 novembre 1791 et comme li provenant des successions de Jean Étienne Dargent , notaire à La Charité et d’Anne Foucher , sa femme, Veuve en premières noces de Pierre Bourreux . Le Sieur Étienne Dargent l’avait acquise le 17 mars 1772 devant Maître Sylvain Gressin , notaire à Sancerre, de la dite Marie Anne Bourreux et son mari Étienne François Simon sur nommés. Ce dernier l’avait reçue en dot par son contrat de mariage reçu Maître Louault, notaire à La Charité , le 19 mai 1755 de Suzanne Duguay , sa mère. (72)
Monsieur le Curé Bourgeois habite cette maison, comme locataire des époux Blanchard , du 7 novembre 1807 au 24 juin 1827, époque à laquelle il vint s’installer dans la maison que la ville avait acquise le 11 avril précédent du Sieur Jolivet pour en faire un presbytère et qui est contiguë à l’église et du 1834 à 1835 entre l’époque de sa démission comme curé et sa mort. {Bonnin page : 145} (73)
La maison suivante dont la façade est toute en pierre de taille, est à proprement parler la dernière de la rue, à gauche en montant, car la maison Née Pouvesle qui lui fait suite et qui fait le coin de la Rue de Saint Père à sa façade entièrement sur la Place de la Paneterie . Elle a dû être une des maisons de commerce les plus importantes de Sancerre au temps où les marchés se tenaient sur la place voisine. On voit encore dans la façade deux arceaux en pierre de taille qui étaient les devantures de ce temps là. Le rez de chaussée est occupé actuellement par le Sieur Louis Maréchal dit « Rémy », épicier et sabotier et le 1er étage par Madame Sophie Antoinette Aubert femme de Louis Pouvesle . Elle appartient à Mademoiselle Stéphanie Arnaud qui l’a acquise en 1868 ou 1869 des héritiers Rotillon et qui lui a coûté tous frais et réparations payés près de 18000 francs. Les anciens propriétaires de cette maison sont : Jean Rotillon , sabotier et épicier et Marie Thirot , sa femme, Jean Larousse, grand-père de la femme Rotillon dont la Veuve y exploita un commerce de librairie , les Bongrand marchand épicier , le Sieur Adéline, Marchand de vin à Paris et Françoise Dargent , sa femme qui la possédaient en 1750. (74)
La maison Née Pouvesle qui suit a été décrite à l’article de la Place de la Paneterie . (75)